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La terre mère nature.

 

 

 

 

 

 

 

 

Les vagues scélérates.

 

 

 

 

 

 

Jean Bulot est « capitaine tempête »

 

 

 

L’Ours Blanc.

 

 

 

 Vidéos sur la Pêche aux oursins, la grande Barrière de corail , sur le commandant Cousteau et de plusieurs aventuriers ..Vidéos: Voici à quoi ressemblerait la Terre si toutes les glaces du globe fondaient par Gentside Découvert

 

 

 

 

la grande barrière de corail.

 

 

 

 

 

Vidéos de la tempête xynthia.

 

 

La tempête Xynthia est une dépression météorologique majeure ayant frappé plusieurs pays européens entre le 26 février et le , causant un épisode de vents violents. Le système, en provenance des régions subtropicales mais de type frontal, a principalement touché l’Espagne (îles Canaries, Galice, Asturies et Pays basque), le Portugal, la France (Aquitaine, Poitou-Charentes, Pays de la Loire, Bretagne et Normandie), la Belgique, le Luxembourg, l’Allemagne et dans une moindre mesure, le Royaume-Uni, la Scandinavie et les pays bordant la mer Baltique.

La tempête Xynthia ne présentait pas de caractère exceptionnel (vitesses maximales de vent sur le littoral : 160 km/hà la pointe de l’île de Ré2), mais elle a été l’une des plus meurtrières (depuis les deux tempêtes de décembre 1999) du fait de« la concomitance de ce phénomène avec une marée haute de vives-eaux (coefficient de 102) s’est traduite par une surcote de 1,5 mètre sur le littoral, expliquant une montée des eaux assez exceptionnelle »2, causant la mort de 59 personnes et de nombreux dégâts matériels. En France, la tempête a provoqué près de deux milliards d’euros de dommages. La conjonction de vents violents et de fortes marées a donné lieu à une onde de tempête et unesubmersion marine qui ont occasionné d’importantes inondations dans certaines régions littorales, principalement enCharente-Maritime, en Vendée et dans les Côtes-d’Armor. La Cour des comptes note que « la carte des zones submergées par la tempête Xynthia recouvre quasiment à l’identique celle des espaces soumis aux flots marins à l’embouchure de la Sèvre niortaise au iie siècle av. J.-C. »2.

Le nom Xynthia provient d’une liste de noms utilisée depuis 1954 par l’Université libre de Berlin (ULB) pour nommer les tempêtes synoptiques qui affectent l’Europe. Son usage s’est répandu aux autres pays du continent depuis cette époque. Depuis 2002, l’ULB utilise des noms suggérés par le public qui doit payer un certain montant servant au financement de l’observatoire météorologique de l’université. La liste est renouvelée annuellement et c’est un certain Wolfgang Schütte qui suggéra Xynthia3.

 

 

 

 

 

La Baleine bleue.

 

La baleine bleue (Balaenoptera musculus), appelée aussi rorqual bleu, est une espèce de cétacés de la famille desBalaenopteridae. Pouvant dépasser 30 mètres de longueur et 170 tonnes, c’est le plus gros animal vivant à notreépoque et, dans l’état actuel de nos connaissances, le plus gros ayant jamais vécu sur Terre.

Long et mince, le corps de la baleine bleue peut prendre diverses teintes de gris-bleuté sur le dos et un peu plus clair en dessous. On dénombre au moins trois sous-espèces distinctes : B. m. musculus dans l’Atlantique Nord et le PacifiqueNord, B. m. intermedia de l’océan Antarctique et B. m. brevicauda découverte dans l’océan Indien et dans le sud de l’océan Pacifique. B. m. indica, découverte dans l’océan Indien, pourrait être une autre sous-espèce. Comme les autres baleines, la baleine bleue se nourrit essentiellement d’un petit crustacé, le krill, mais également de petits poissons et parfois de calmars.

Les baleines bleues furent abondantes dans presque tous les océans avant le début du xxe siècle. Pendant près de quarante ans, elles furent chassées par les baleiniers qui ont amené l’espèce au bord de l’extinction avant qu’elle ne soit protégée par la communauté internationale en 1966. Un rapport de 2002 estimait qu’il y avait entre 5 000 et 12 000 baleines bleues à travers le monde, localisées dans au moins cinq groupes. Des études plus récentes sur la sous-espèce B. m. brevicauda suggèrent qu’il pourrait s’agir d’une sous-estimation. Avant la chasse industrielle à la baleine, la plus forte population se trouvait dans l’Atlantique, qui en comptait approximativement 240 000 (entre 202 000 et 311 000). L’espèce est considérée comme menacée.

 

 

 

 

 

 

 

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http://future.arte.tv/fr/surpeche

 

La biodiversité dans les filets de la pêche | ARTE Future

 

 

 

 

 

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Corentin de Chatelperron – Pionnier – Shamengo

Tara Tari – Jute fiber for Bangladesh Sailboats: Interview de Corentin de Chatelperron, ingénieur et navigateur

 

 

 

 

 

Eric_Tabarlycv2▶ Tabarly 21-07-1980.wmv – YouTube

 

 

 

 

 

 

 

 

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