L’Atlantique à la Rame.

Il y a plus d’humains qui sont allés dans l’espace qu’à avoir traversé l’Atlantique à la rame.

Peggy Bouchet est une navigatrice et une entrepreneuse française, née à Évian-les-Bains, le 6 juin 1973.

Elle suit un DUT de droit et de gestion, puis une maîtrise en logistique et management maritime à l’université de Plymouth. C’est à cette époque qu’elle se découvre une passion pour l’univers maritime et s’adonne à la voile.
En 1995, alors qu’elle finalise sa formation à Brest, elle décide de traverser l’océan Atlantique à la rame.
Travaillant dans la société 3M, elle revient tous les week-ends à Brest construire son bateau. Celui-ci, terminé en 1997, elle démissionne en 1998 pour créer sa société chargée de gérer son aventure.
En 1998, elle se lance dans sa première traversée de l’océan Atlantique à la rame mais échoue à 110 kilomètres de l’arrivée.
En 2000, à l’âge de 26 ans, à son deuxième essai, elle réussit la traversée de l’Atlantique à la rame en solitaire en moins de 49 jours, devenant ainsi la première femme au monde à traverser en solitaire l’Atlantique à la rame.

Depuis elle travaille dans le secteur des énergies renouvelables et anime des conférences et des séminaires.

 

atlantique à la rame
images des ports

 

 

 

 

Mylene Paquette.

Attirée par la mer et souhaitant devenir navigatrice, Mylène Paquette a découvert la rame océanique. Puis, elle a choisi de changer sa vie à la suite d’une bouleversante conversation avec une enfant gravement malade. Mylène Paquette est la première personne des Amériques à avoir traversé l’Atlantique Nord à la rame, en solitaire. Une aventure humaine qui va bien au-delà de l’exploit sport.

Le 12 janvier 2005, Maud Fontenoy quitte le port de Callao au Pérou pour tenter de rallier Tahiti en suivant l’itinéraire du radeau Kon-Tiki de Thor Heyerdahl qui avait fait cette traversée en 1947. Elle comptait ramer pendant 4 ou 5 mois, sans assistance, sur son canot Océor long de 7,5 mètres et large de 1,6 mètre.

Arrivée le 26 mars après 73 jours de mer et 6 900 kilomètres elle touche l’île de Hiva Oa aux îles Marquises, loin du but initial, mais considère avoir rempli son contrat en avance d’un mois sur ses prévisions. Le radeau Kon-Tiki avait réalisé le même trajet (en réalité 1 000 kilomètres de plus) en 101 jours, aidé d’une voile rudimentaire. On peut considérer qu’au moins 50 % du déplacement est le fait des courants marins favorables.

Maud Fontenoy est donc la première femme à réaliser l’exploit de cette traversée sur l’océan Pacifique d’est en ouest à la rame et sans assistance, mais sans commune mesure avec Gérard d’Aboville 134 jours ou Emmanuel Coindre 129 jours, qui ont tous deux rallié les côtes américaines depuis le Japon et ainsi effectué la traversée du Pacifique Nord par la route des dépressions.

 

mylene paquette
images des ports
atlantic challenge
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Le Raid   Talisker wisky Atlantic Challenge .

Le premier événement dans Ocean Rowing – Un défi qui vous mènera plus de 4.800 km. (2.600 nm.) À l’ouest de San Sebastian de La Gomera, Îles Canaries (28oN 18oW) Dockyard English Harbour, Antigua-et-Barbuda de Nelson (17 sur 61oW). La course annuelle commence au début de Décembre, avec un maximum de 30 équipes participantes de partout dans le monde. La structure de la course réunit un environnement où les équipes du monde entier se rassemblent dans le village de la course de San Sebastian de La Gomera, Îles Canaries. L’atmosphère est électrique que les gens aident mutuellement préparer à relever le défi de la puissante océan Atlantique. Tous avec le même objectif – à prendre sur l’expérience unique de traverser un océan dans un bateau à rames. L’ambiance de fête crée des amitiés solides et la compétitivité cède la place à commaradery qui se poursuivra tout au long de l’événement.

Mais vers le bas pour les affaires graves de ramer un océan. De les couchers de soleil et levers de soleil à la faune qui sera d’abord rencontré la main – la course offre différentes expériences à tous ceux qui sont impliqués. Les bateaux sont sept mètres de long et un peu moins de deux mètres de large, avec seulement une petite cabane pour la protection contre les tempêtes. Tous les bateaux sont équipés au départ de la course, et ne peuvent pas prendre toute réparation, d’aide ou de nourriture et d’eau pendant la traversée. Il ya une bataille constante de la privation de sommeil, les plaies de sel et les extrêmes physiques que la ligne va infliger. Une fois le paradis et le parti atmosphère sécuritaire du port est laissé derrière – vous êtes de gauche avec vos propres pensées, une étendue de l’océan et de l’emploi de la marche du bateau en toute sécurité de l’autre côté. Il est maintenant votre monde. Une existence base laissant derrière eux les souvenirs et les odeurs de la terre et de traiter avec les émotions de quitter leurs proches derrière. Les témoins des changements à votre coéquipier, regarder systèmes et de savoir tout ce qu’il y a à savoir à propos de votre bateau d’aviron.

 

Rames Guyane  : les Guyanais de la traversée de l’Atlantique en solitaire.

Ils sont nés ou résident en Guyane. Point commun : une volonté à toute épreuve. Le 18 octobre, ces six passionnés de sport vont affronter l’Atlantique en solitaire et à la rame, pour une course qui les mènera de Dakar au Sénégal à Kourou en Guyane. Profils.

Dans la liste des traversées de l’Atlantique à la rame.

Gérard D’Aboville

En 1980, parti de Cap Cod aux États-Unis le 10 juillet, il arrive à Brest le 21 septembre, 71 jours et 23 heures plus tard, après avoir parcouru 5 200 kilomètres à la rame. Son bateau, le Capitaine Cook, mesure 5,60 mètres. Après Tom McCLean en 71 jours en 1969, il est le premier navigateur Français à traverser l’océan Atlantique en solitaire à la rame dans le sens ouest-est 

En 1991, il traverse l’océan Pacifique à la rame. Il part de Chōshi, au Japon, le 10 juillet et atteint les côtes américaines le 21 novembre.

Olivier Montiel.

L’Ardéchois a traversé l’Atlantique à la rame. Il a passé plus de deux mois et demi en mer. Ce mardi, il a retrouvé ses proches chez lui à Saint-Georges les Bains.

Mathieu Martin.

Alors que les participants de la route du Rhum affrontent des conditions difficiles, Matthieu Martin entame ce matin le 20ème jour de sa traversée de l’Atlantique en solitaire à la rame, un défi qu’il a souhaité associer au combat d’IFAW pour protéger les océans et les espèces marines. Matthieu a pris le départ de  la course Rames Guyane à Dakar le 18 octobre dernier aux côtés de 18 autres concurrents, avec l’espoir de rallier la Guyane avant Noël.

Charles Hedrich.

C’est une première mondiale. A 54 ans, le rameur français Charles Hedrich a achevé samedi sa traversée de l’Atlantique aller-retour en solitaire sans assistance. Parti de Saint-Pierre-et-Miquelon en juillet en direction du Cap-Vert, il est revenu 145 jours et 21 heures plus tard sur la côte est aux Anses d’Arlet, en Martinique.

 Un périple de 11 000 kilomètres réalisé au nom de son association «Respectons la Terre», qui milite pour la préservation de la biodiversité et lutte contre le réchauffement climatique.

A peine rentré, cet amoureux du grand large a déjà un nouveau projet entête. En juin 2013, il ,sera en Alaska, en mer de Béring, pour être le premier à traverser le nord-ouest à la rame, du Nord du Canada au Groenland.

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Thierry Dragues

Ce défi extraordinaire est en fait accompagné d’un triple objectif : être le plus jeune français à réussir cette aventure, tenter de battre le record de traversée porté à 42 jours (hélas raté) et surtout démontrer qu’avec peu de moyens on peut se dépasser et aller très loin…

Intrépide aventurier de 27 ans né à Chambéry, Thierry Dagues se passionne très jeune pour les espaces marins et le sport. Des passions dévorantes qui le conduisent dans un premier temps à la pratique de l’aviron : il en résulte 6 années de compétitions et les titres de vice-champion de France 1993 et vainqueur des régates France-Angleterre 1993. Ses bons résultats, Thierry Dagues ne s’en contente pas. Il souhaite aller plus loin…beaucoup plus loin. Son rêve ? Traverser l’Océan Atlantique à la rame d’Est en Ouest.
Intimement attaché à la mer, il décide en 2003 d’aller au bout de son rêve en dépit de faibles moyens et d’un travail en parallèle de Consultant en systèmes d’information. Seul au départ sur ce projet, Thierry Dagues réussit le formidable pari de convaincre en une année entraîneurs, parrains, médecins, météorologue, partenaires et sponsors à s’engager avec lui dans cette aventure…

Cette liste n’est pas exhaustive.