Robinson Crusoé ; Daniel Defoe

Jules Verne publie sont roman l’île Mystérieuse en 1875 , son oeuvre va inspiré une longue lignée de grands romanciers , Mais c’est sans doute Robison Crusoë publié en 1719 par Daniel Defoe que l’histoire débute vraiement .

En 1651, Robinson Crusoé quitte York, en Angleterre, contre la volonté de ses parents qui voulaient qu’il devienne avocat, pour naviguer. Le navire est abordé par des pirates de Salé et Crusoé devient l’esclave d’un Maure. Il parvient à s’échapper sur un bateau et ne doit son salut qu’à un navireportugais qui passe au large de la côte ouest de l’Afrique. Arrivé au Brésil, Crusoé devient le propriétaire d’une plantation grâce au matériel qu’il y avait sur le bateau.
En 1659, alors qu’il a vingt-huit ans, il se joint à une expédition partie à la recherche d’esclaves africains, mais à la suite d’une tempête il est naufragé sur une île à l’embouchure de l’Orénoque au Venezuela. Tous ses compagnons étant morts, il parvient à récupérer des armes et des outils dans l’épave. Il fait la découverte d’une grotte. Il se construit une habitation et confectionne un calendrier en faisant des entailles dans un morceau de bois. Il chasse et cultive le blé. Il apprend à fabriquer de la poterie et élève des chèvres. Il lit la Bible et rien ne lui manque, si ce n’est la compagnie des hommes.

Les îles inspirent , les îles intriguent , elles sont une source inépuisable pour les auteurs que se soient pour les livres , le cinéma même le théâtre.

Victor Hugo vécut une partie de sa vie en exil. Après la Belgique et Jersey, l’écrivain, une partie de sa famille et Juliette Drouet (sa maîtresse) débarquent le 31 octobre 1855 sur l’île anglo-normande de Guernesey pour y séjourner plus de quinze ans jusqu’en 1870 au 38, « Hauteville Street ».

Herman Melville.

Herman Melville, qui fut lui aussi marin, et notamment baleinier de 1840 à 1842, comme la plupart des héros de ses romans, s’est inspiré de faits réels : notament sur l’île de Nantoucket .

Pierre Loti

L’écrivain français, décédé en 1923, a vécu à Rochefort mais il est enterré à Oléron. Non sans raison.

Pourquoi Pierre Loti a-t-il fait de cette maison, dans laquelle il n’a jamais vécu, son tombeau ? Une partie de la réponse est peu connue, mais elle vaut la peine d’être rappelée tant l’homme a marqué la région, qu’il a aimé décrire dans Le Roman d’un enfant ou Prime Jeunesse. Né en 1850 à Rochefort, de famille protestante, l’écrivain rachète en 1899 la bâtisse située au n° 19 de la rue qui porte aujourd’hui son nom, à Saint-Pierre-d’Oléron. 

Cette demeure, la mère de sa mère avait été contrainte de la vendre dans les années 1830, « à la suite de placements hasardeux », explique Patrice Saintespes, l’un des meilleurs spécialistes de l’auteur. Loti la baptise alors « Maison des aïeules », en hommage à sa grand-mère et à ses tantes, qui habitaient à quelques mètres. Mais Louis Marie Julien Viaud – son vrai nom – n’y vivra jamais. Pour l’historien Philippe Lafon, interrogé par Sud Ouest, il « ne se sentait pas digne de cette maison hantée par les souvenirs de sa famille huguenote ». A tel point qu’à chacun de ses voyages à Oléron il logeait à l’hôtel de la Renaissance, place de l’Eglise.

Jules Verne.

L’Île mystérieuse est un roman de Jules Verne, paru en 1875. Il relate les aventures de cinq personnages qui, fuyant le siège de Richmond pendant la guerre de Sécession, s’échouent sur une île inconnue qu’ils baptisent l’île Lincoln. Grâce à leurs compétences variées et leur astuce, ils s’efforcent de reconstituer une vie confortable sur cette île déserte, mais ils font face à plusieurs périls et à d’étranges phénomènes. Dans une moindre mesure, le roman constitue un prolongement des romans Vingt Mille Lieues sous les mers et Les Enfants du capitaine Grant, certains personnages secondaires étant issus de ces romans.

TINTIN : L’île Noire.

L’Île Noire (initialement intitulé Les Nouvelles Aventures de Tintin et Milou) est le septième album de la série de bande dessinée Les Aventures de Tintin, créée par le dessinateur belge Hergé. À l’origine publié en feuilleton dans Le Petit Vingtième, supplément de l’hebdomadaire Le Vingtième Siècle, du 15 avril 1937 au 16 juin 1938, l’album paraît en novembre 1938 aux éditions Casterman. L’album est colorisé en 1943, avant d’être refondu en 1966, donnant la version actuelle1.

Dans l’édition de 1966, Hergé redessina entièrement l’album à la demande des éditeurs anglais qui jugeaient la représentation de la Grande-Bretagne non conforme à la réalité. Alors que les scènes et les dialogues restent identiques, les décors et accessoires ont été enrichis tant au niveau des détails ajoutés que de la modernisation de l’ensemble des objets (remplaçant par exemple la locomotive à vapeur par une machine diesel-électrique, ou une pompe à bras par un camion pompe). On peut y trouver un certain déséquilibre entre le dessin moderne et Tintin qui est toujours celui des années 1930. De fait, L’Île Noire est le seul album de la série qui ait connu trois versions différentes.

Les autres grands écrivain inspiré par les îles :

Guy de Maupassant et la sicile, Hernest Hemigway et Cuba, jmg Le Clézio l’île Maurice, Agatha Christie et les Canaries, Shakspeare l’île de la tempête…